Étudier en français, un défi pour les Inuits

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Je me soucie de l'avenir de la langue française. J'essaie de le parler et de l'écrire correctement. Mais une langue, c'est fait pour communiquer. C'est fait pour bâtir une société qui offre des possibilités d'avenir égales pour toutes et tous, Imaginez, je tombe ce matin sur un article du Devoir...  Photo: Miriane Demers-Lemay/Le Devoir

qui m'offre un aperçu de la perpective d'étudier en français ou en anglais pour les autochtones du Nord québécois. Je ne pouvais résister à le lire et je vous invite à mieux connaître la situation. Les Inuits du nord du Québec peuvent poursuivre leurs études collégiales dans l’une des deux langues officielles du Canada, un choix qui peut s’avérer déterminant pour leur avenir.  

« Ce sont des survivors, la crème de la crème du Nunavik ! » s’exclame avec fierté Marie-Hélène Morin, conseillère pédagogique au Collège Montmorency, en faisant référence à la poignée d’étudiants inuits du cégep. Les étudiants viennent du Nunavik, un territoire pratiquement aussi grand que l’Espagne situé au nord du Québec, où 83 % des élèves décrochent avant d’avoir terminé leur secondaire.

Lire l'article du Devoir au complet. Auteur Miriane Demers-Lemay